Depuis la dernière fois que je vous ai parlé de portage, j’ai reçu une nouvelle écharpe tissée: une Lennylamb 100% coton dans le coloris Milonga.
Il y avait quelques problèmes avec les écharpes que j’avais déjà. L’une d’elle n’a de tissée que le nom. Dans les faits, elle est plutôt extensible et sa texture rend le nouage difficile puisqu’elle agit un peu comme un velcro. L’autre est une grace+eugene, en gaze de coton. Celle-là, je la recommande fortement aux parents qui désirent une alternative à l’écharpe extensible (comme celle de Maman Kangourou, Moby, Boba…) pour les premiers mois de vie de bébé, surtout pour traverser l’été avec un nouveau-né sans mourir de chaleur. Mais Renard n’est plus un nouveau-né, et il est maintenant ardu de bien nouer l’écharpe pour être confortable.
J’avais donc besoin d’une écharpe réellement tissée pour porter mon plus-si-petit-bébé-que-ça.
À la fin d’une journée de m****, j’ai enfin convaincu mon conjoint de faire cette folle dépense, une écharpe en grade B (avec un léger défaut que je n’ai pas encore trouvé) avec en plus un code promotionnel qui nous a donné un 15% de réduction si ma mémoire est bonne. Comme nous l’avons commandé directement de Pologne, elle a mis du temps à arriver (merci Poste Canada), mais je l’ai finalement eu dans mes mains et là, ma vie a changé.

Hein? Oui oui. J’exagère peut-être un tout petit peu de rien du tout, mais reste que d’avoir en ma possession une bonne écharpe tissée facilite mon quotidien.
Mon préformé Chimparoo Trek est idéal en sorties, lorsque je dois installer Renard rapidement, ou pour que papa porte aussi. Pour faire des tâches ménagères, toutefois, ce n’est pas le rêve. J’ai les épaules étroites et si je porte au dos, les sangles frottent sur mes bras lorsque je les tends en avant. Avez-vous déjà essayé de faire du lavage ou de laver la vaisselle avec les bras le long du corps? Moi non plus.
Avec l’écharpe tissée, je peux faire des nouages qui me permettent d’avoir les bras libres. Bon, je ne suis pas encore pro et il arrive que bébé soit trop bas, ce qui finit par me faire mal au cou, mais avec de la pratique et les bons conseils des porteuses plus expérimentées, je devrais y arriver!
Attendez-vous donc à plusieurs articles sur le portage à l’avenir, tandis que se développe mon histoire d’amour avec ma Lennylamb.